CORNEILLE, MOI J’AIME

GRANDE FRESQUE IMAGINAIRE D’UN DESTIN OUBLIE


Un spectacle écrit et imaginé par

Sylvie OLLIVIER et Ivan MORANE

Mise en scène    

Ivan MORANE

Dramaturgie   

Sylvie OLLIVIER

Lumière et scénographie   

Jean-Marie POUVEZE

Costumes   

Michel BAZIN

Conseillère musicale   

Chantal BAUER

Co-production   

Compagnie Ivan Morane

Compagnie Robert Hossein

avec

Christian DRILLAUD       

Pierre CORNEILLE

Jean-Paul AUDRAIN       

Célidan - Un académicien - Un invité - L’annonceur - Le roturier MOLIERE

Marc-André BRUNET       

Un invité - RICHELIEU - MAZARIN - Thomas CORNEILLE

L’Abbé de Pure

Elisabeth COMMELIN        

Une invitée - Marie de Lampérière - Un académicien

Madame de Longueville - Mademoiselle de Brie - Une précieuse

Paul ECOFFARD   

Monery - Un invité - Chapelain - Le Robin - René Duparc

Marie-Christine GRUDZINSKI   

Dorise - La lingère - Un académicien - Mme Hue

Mme de Rambouillet - Anne d’Autriche - Madeleine Béjart

Cathos

Sylvie OLLIVIER   

Catherine Hue - Un académicien - Une invitée - La frondeuse

Thérèse Duparc - Magdelon - Madeleine Corneille

Bernard SALVAGE   

Un invité - Boisrobert - M. de Lampérière - Le Noble - Du Croisy

Saint-Evremond

Patrick SIMON

L’assistant - Pyrante - Le Mercier - Un académicien - Voiture

M. de Longueville - La Grange - RACINE - Colbert

Marc WYSEUR

Cliton - Alcidan - Un académicien - Un invité - Le messager

Un precieux - Louis XIV

et

L’Ensemble Ochestral de Haute-Normandie

sous la direction de Jean-Pierre BERLINGEN

Plus de 100 représentations

Espace Duchamp-Villon - Rouen

Grand Théâtre de la Cité Internationale - Paris

Espace Jacques-Prévert - Aulnay 93

Théâtre de Pontivy 35

Théâtre de la Ville du Puy en Velay

1984

Les loges d’un théâtre de province.
Une troupe de comédien achève (dans tous les sens du terme) CINNA dans le cadre d’une matinée scolaire.

La pièce commence quand les acteurs retournent dans les loges pour se changer.

Au cours de la dispute qui les oppose à l’assistant,, ils vont se jouer la vie de CORNEILLE telle qu’ils l’imaginent ou tellle qu’elle a eu lieu.

Ils vont utiliser tout ce qu’ils trouvent dans ces loges pour interpréter quatre-vingt-dix personnages en deux heures :

...Molière, Racine, Louis XIV, Richelieu, Mazarin, académiciens, frondeurs, comédiens de la troupe de Molière...

Ils utilisent tous les codes de jeu : commedia dell’arte, chant, parodie, comédie...

...Pouf tenter de cerner, comment eux, acteurs de 1984, peuvent redonner la vie à celui dont on fête cette année le tricentenaire de la mort.

Ce qu’en a dit la presse

...Spirituel de bout en bout, ce voyage dans l’histoire d’un homme et d’une époque est une fête où l’esprit règne en maître. Le plaisir est dans la salle, le plaisir est sur la scène, l’osmose se fait, on est emporté, soulevé par l’énergie et la concentration d’une troupe qui réussit à transmettre l’émotion jusqu'au serrement de gorge...

Elvire LACOSTE - 7 à Paris

...Interprétée par Christian Drillaud, Corneille devient un personnage tendre, accablé, plus poète maudit que bourgeois normand. Mais après tout, c’est une fresque “imaginaire”, elle a de l’allant, et le tricentenaire y ressucite : mission accomplie.

Matthieu GALEY - L’Express

...Un hommage malin, ému et amical à une vieille barbe de théâtre dont le visage est toujours jeune. Sylvie Ollivier et Ivan Morane nous le prouvent excellemment en un jeu simple et direct comme une bande dessinée.Mais ils y mettent en plus, du coeur et une sympathie complice. On sort du théâtre cornélien.

Pierre MARCABRU - ELLE

Nouvelle jeunesse pour Corneille...

Alain CONSTANT - Le Figaro

Festival de bonheur. Celui que les comédiens ressentent visiblement à jouer et à se jouer des personnages ; bonheur de divertir enfin au théâtre, de sortir au bout de ces deux heures la tête emplie d’images, de lumières, de textes, de musique. Avec, ce qui me semble important, l’envie intense d’en savoir un peu plus sur le “bonhomme Corneille”.

Jocelyne FONLUPT - Le Monde Libertaire

...la mise en scène habile et multiforme, le jeu (Christian Drillaud, Sylvie Ollivier, Paul Eccofard) parviennent à un très bon accord entre la vérité historique et la vérité théâtrale.

Gilles COSTAZ - Le Matin de Paris

...Mi-respectueux, mi-malicieux,avec des farces de gamin, et des moments d’émotion vraie ; ils bâtissent un spectacle jeune, aimable, direct, où de Christian Drillaud à Marc-André Brunet, de Sylvie Ollivier à Marie-Christine Grudzinski et Elisabeth Commelin, toute la troupe changeant d’apparence et de visage dans de beaux costumes de Michel Bazin ne cesse de nous dire l’amitié qu’elle porte à Corneille le plus généreusement du monde. On prend plaisir à cet hommage sans façon.

Pierre MARCABRU - Le Figaro

...The two hours performance is done without intermission and has sufficient verve, variety and interest to hold attention.

VARIETY


Affiche Christian DO HUU